Hors-La-Loi à jamais !!

Bonjour à tous
depuis quelques temps mais venue l'idée de rédiger une fiction, mon histoire prendra place au même endroit que le le jeu Red Dead Redemption, mais il commencera en 1865 peut de temps après la guerre de Sécession. Dans mon histoire certaines choses peuvent vous paraitre étrange ou incohérentes, je vais en effet reprendre des personnages de RDR mais dans ma fic l'histoire de John Marston n'a jamais existé ! je vais donc prendre certains personnages ou lieu du jeu mais voilà ne soyez pas choqué par cela ^^
Voici le premier chapitre:

PS: Le Jonathan Madsen de ma fic n'a rien a voir avec celui de la fic de GG ^^

Chapitre 1 : Home,Sweet Home :
1865, Blackwater, 8h17. Une belle journée s’annoncé sur la ville et en l’occurrence sur tout l’Etat de West Elizabeth. Blackwater, était une ville très récente à proprement parlé, sans doute la ville la plus développé de tout l’Ouest. On pouvait constater le camp de bucheron à l’extrémité Nord de la ville qui approvisionné la ville en bois, on pouvait également apercevoir de nombreuses fermes et basses cours à l’intérieur de la ville, qui laissait peu à peu place à des échoppes, comme le nouveau cordonnier, ou encore le « général store ». Mais ce qui provoquait l’essor si soudain de Blackwater était sa gare Moderne, le transcontinentale, actuellement en finition, la portion de chemin de fer n’était arrivé que l’année dernière à Blackwater. Mais l’essor de la ville venait surtout de son port, son port commercial était le nerf, la machine de guerre de toute la ville, car cela lui ouvrait les portes d’une nouvelle ère : l’industrialisation, en tout cas l’ouest sauvage se terminer dans cette ville (ce qui bien sur n’était vraiment pas le cas dans tout le reste de l’Etat).
Ce port à proprement parlé était ce matin-là animé par une foule bruyante et joyeuse, cette foule était composé soit de certaines personnes d’âge mures et de très jeunes enfants. La raison de ce jovial attroupement ? La fin de la guerre ! La guerre de Sécession avait pris fin il y a 2 semaines de cela, les cris de joies redoublèrent quand la foule vis entrer dans son champ de vision le ferry qui ramenait les troupes Yankees qui avait combattues dans les contrées du Wisconsin. Dans la foule, des larmes de joies coulèrent et… de tristesse aussi, l’anxiété des parents, ayant la crainte de ne pas revoir leur fils descendre du bateau. Le Mariposa Bell, un ferry de voyages inter-Etat qui bien souvent relié des trajets longs courriers entre L’Etat de New York à l’Est du pays et la Californie à l’Ouest, mais durant les évènements de ces 5 dernières il avait été changé en un navire de transport de troupes. Quand le Bateau accosta et que la passerelle fut descendue, les foules s’enivrèrent, les familles eurent droits à de longues embrassades et pleurs avec leur(s) fiston(s) revenu du bourbier.
Un jeune homme, accoudé à la rambarde supérieur du ferry rejoignit la passerelle et descendit du navire, il se mélangea à la cohue environnante déchirée par les cris de joies et de tristesse. Une fois sortit de la foule il remonta une rue de terre qui longeait le futur centre ville de Blackwater, en effet la rue était en cours de pavage et 2 bâtiments était en train d’être construit, l’originalité c’est qu’ils allaient être fait de briques et non de bois, le progrès arrivé vite dans ces terres australes…
Le jeune ne prit même pas l’attention de s’attarder sur la joie environnante, il se devait de rentrer chez lui à la ferme de Beecher’s Hope ou vivait ses parents et son frère William, ces parents n’était pas venu l’accueillir à l’accostage du Ferry mais Jonathan ne leur en voulait pas, son père commencé à vieillir et il avait des difficultés motrices, la ferme était dans une mauvaise passe, enfin c’était le cas quand il était parti au front…
Jonathan Madsen était un garçon dans la force de l’adolescence, il avait encore des traits enfantins, il n’avait que 18 ans et il avait connus les pires horreurs qu’un homme puissent faire endurer à son prochain, en revenant de cette guerre, qui selon lui n’avait mener strictement à rien… la situation du pays s’était détériorée au lieu de s’améliorée… Enfin maintenant il voulait coulait le reste de son adolescence dans le ranch familial ou il partirait sans doute vers ses 20 ans à San Francisco pour travaillait dans la marine marchande.
Jonathan était grand d’un bon mètre 78, il avait des cheveux noirs jais coupé assez court ce qui était assez étrange pour l’époque ou les hommes négligés leurs apparences… il possédait également de grands yeux marrons ce qui lui valait les compliments généreux de la gente féminine… Mais Jonathan n’avait plus le cœur à courir les jupons, ni à rire pour le moment… il voulait rentrer chez lui au plus vite et laissait derrière lui le massacre auquel il avait était acteur, spectateur, et parfois même victime … quelques semaines plus tôt…
Il arriva en périphérie de la ville, ou il vit une vieille charrette déglinguée conduite par un vieillard édenté à la barbe blanche longue comme un rabbin et aux joues rouges… mais ce type avait l’air jovial et sympathique.
Johnny s’en approcha :
Vieillard : Eh fiston ! J’te dépose quelque part gamin ?!
Jonathan : A Beecher’s Hope s’il vous plait…
V : Ok ! C’est partit pose ton cul dans la Carette avec les autres et en avant ! Ahah !
En effet, il y avait déjà 3 autres soldats à l’arrière du Chariot, mais aucun ne prêta d’attention à Jonathan quand il monta dans celle-ci.
Le vieillard fouetta les chevaux et la carriole partie sur la piste défoncé par les creux et les cailloux d’un chemin en s’enfonçant dans les plaines verdoyantes de Great Plains. Chacun des militaires était occupés à faire quelques choses :
L’un d’entre eux, la tête posée sur une des parois du chariot somnolait dans un des coins du véhicule, un autre contemplait le portrait d’une jeune femme qui devait sans doute être la petite amie de celui-ci et qui devait lui manqué horriblement… Le troisième et dernier soldat avait hotté une de ses rangers et en inspecté l’intérieur crasseux. Quand à Jonathan il inspecté les vastes étendues de Great Plains ou il distingua un troupeaux sauvages de chevaux et au loin dans la brume matinale il parvint à distingué la foret de Tall Trees, froide et austère.
Après 30 minutes de route sur un chemin complètement défoncé le chariot s’arrêta et Jonathan en descendit, il marcha un peu et vit la ferme de Beecher’s Hope. Sa ferme. Son foyer.
La ferme n’était pas un ranch très productif et très réputé mais au moins c’était le havre de paix qu’aurait besoin Jonathan pour se reconstruire.
La ferme avait était construite par le père de Jonathan, Garett Madsen, homme assez mystérieux… alors qu’il n’était qu’un enfant. La ferme possédait une grande habitation pour la famille, ainsi qu’une petite grange et un silo à grain, à coté de la grange se trouvait un petit enclos à bétail… sans bétail…
Jonathan s’engagea dans l’allée, et marcha en direction de la maison familial, les larmes lui montèrent aux yeux,
Home…Sweet Home…

Chapitre 2: Retrouvailles et dur labeur:
Jonathan sécha c’est larmes du revers de son uniforme militaire et marcha calmement vers la maison familiale. Cette maison qui lui rappelait une foule de souvenirs… Les partis de chasse aux lapins avec ses frères William et Terrance …
Jonathan observé son père, mais celui-ci ne le voyait pas…
Garett Madsen était occupé à coupé des buches de bois qu’il avait disposé sur une souche pour mieux les coupées, Garett lui tournait le dos à son fils, tout à coup il relâcha sa hache et étendie ces articulations qui lui faisait un mal de chien… Garett n’avait que 62 ans mais on lui en aurait donné bien plus… On pouvait lire sur son visage que c’était un type qui avait du vécu. Garett été aussi grand que son fils Jonathan, mais il était plus costaud et robuste que lui, il avait les mêmes grands yeux sombres que son fils, ce qui le vieillissait vraiment, c’est qu’il possédait une barbe noire qui le rendais une once plus sérieux mais cette barbe commençait à blanchir malgré les années… Garett étai un type mystérieux, il n’avait jamais révélé quoi que se soit sur son passé à son fils, en outre celui-ci n’était pas très glorieux…
Il ne sentit pas son fils approché dans son dos :
Jonathan : Bonjour Papa .
Garett se retourna et vit son fils. Il avait tant changé à ses yeux, il ne le reconnait plus dans cet uniforme bleu de l’armée Nordiste, une barbe de 3 jours commençais à lui poussais, c’était un homme maintenant… Garett les larmes aux yeux serra son fils contre lui de toutes ses forces.
Garett : Oh mon dieu mon fils ! Tu es là ! Tu es revenu ! Eleanore ! Eleanore ! Jonathan est là !!
Une femme aux cheveux grisonnants mais au visage ne possédants aucune ride sortit en hâte de la cuisine de la maison et embrassa son fils et son mari de toutes ses forces. Eleanore Madsen avait toujours était une mère patiente et courageuse, elle avait su se montrer à la hauteur, même dan les pires événements qu’avait encourue la famille …
Eleanore : Oh mon dieu ! Mon fils ! Mon fils ! Tu es revenus parmi nous !
? : Nom de Dieu ! Jonathan es-que c’est toi !? M*rde ça alors ! J’en reviens pas !
Jonathan se retourna et vit son frère William qui courait vers lui. William Madsen était un le plus jeune des fils Madsen, il avait 16 ans mais c’était déjà un robuste gaillard et il ressemblait comme 2 gouttes d’eau à Jonathan, sans la barbe de 3 jours bien sur…
Après une longue embrassade avec son frère ,Eleanore posa la question très douloureuse qu’il redoutait plus que tout !
Eleanore : Jonathan, ou est Terrance ?
Jonathan : Je…euh… eh bien… Maman, Papa, petit frère je veux que vous sachiez que… enfin … voila…
J’ai rien pu faire pour le sauver… Terrance est mort…
Eleanore éclata d’un sanglot silencieux dans les bras de son mari qui ferma les yeux en pleurant la mort de l’ainé de la famille.
Terrance et Jonathan étaient partis le même jour au front, le 2 Décembre 1865…
Jonathan adorait Terrance, il l’admirait même… Il ne se disputait jamais… Terrance avait 21 ans quand ils sont partis tout les 2 se battre contre les Sudistes dans le Wisconsin. Terrance a joué le rôle de protecteur pour Jonathan, il lui a appris à ne pas y passé rapidement et à manier une arme correctement.
Mais le jour de sa mort… Jonathan s’en souvient parfaitement…
« La pluie tombait à torrent, la tranchée dans laquelle se trouvais Jonathan et son régiment était devenue une vraie bauge à cochon, de la boue partout, la puanteur des cadavres des frères d’armes qui y était passé… Ce fut le jour le plus long et le plus horrible de la vie de Jonathan… La boue… Les cadavres… la pluie battante, on ne voyait rien à plus de 2 mètres et pour arranger l’affaire, les Sudistes était embusqué dans les arbres et les arrosaient avec acharnement… sous ce tel acharnement Jonathan se prit une balle dans la main gauche, il en garde aujourd’hui la marque circulaire…
Il avait souffert les milles supplices pour rejoindre la zone d’extraction… Une fois qu’il y fut parvenu, lui et son régiment, ou du moins ce qu’il en rester… furent victime d’une embuscade à la baïonnette… Son frère y passa…
Terrance mourut sous ses yeux… il se fie poignarder devant lui… Ivre de rage, Jonathan avait vidé le barillet de son Single Action Army dans la tête de l’assassin… Mais il était trop tard son frère était déjà mort… Jonathan resta à ses coté pendant 2 longues heures à pleurer sa mort et à l’embrasser, sous une pluie battante… Le jour le plus long… »


Cela fait maintenant 2 moi et demi que Jonathan était rentré au bercail, les retrouvailles furent douloureuses… Terrance manquait à tout le monde mais la vie commençait à reprendre peu à peu au ranch. Jonathan et son frère William dressaient des chevaux sauvages qu’ils revendaient ensuite aux ranchs de Blackwater. Jonathan passa plus de temps avec son frère, une vraie complicité s’installait entre les 2 garçons.
Le Ranch Acheta une 20aines de volailles et une 10aines de vaches aux McFarlane. Le Ranch atteignit même un certains essor, petit mais au moins cela occupé tout le monde.
7 Aout 1866, Jonathan avait maintenant 19 ans son anniversaire était passé d’un moi et aujourd’hui il avait décidé d’aller chassait le cerf dans les plaines avec son frère qui approchait des 17 ans.
En fin de journée, après avoir abattue 3 bêtes les 2 garçons avaient établie un campement pour déguster le fruit de leur chasse, tout en mangeant les 2 jeunes gens parlaient de choses et d’autres :
Jonathan : Pas mal petit frère, franchement t’es vraiment doué, tu commences à être un redoutable chasseur Will, un de ces jours on ira chasser le grizzly rien que toi et moi !
William : Merci Jo’, Merci de me sortir un peu, et puis j’aime être avec toi, sa n’a pas du être facile là-bas…
Jonathan : A la bonne heure ! Les sujets fâcheux !
William : Oh ! Excuse-moi ! J’ai du manquer de tact je sais… j’m’excuse…
Jonathan : Non, ne t’en fais pas, je comprends, moi aussi à ton âge j’étais curieux, et pour répondre à ta question, Oui sa n’a pas été facile tout les jours, mais ne t’en fais pas, un jour… un jour… Je te raconterais…
Les 2 garçons reprirent leurs chevaux et prirent le chemin du retour vers le ranch, après 20 minutes de course au galop, quelque chose attira l’attention de William qui quitta le sentier.
Jonathan : Eh ! Will ou est-ce que tu vas il faut qu’on rentre là !
William : attends je viens de voir un truc bizarre !
Jonathan s’approcha de Will et vit de la fumée émanant du « truc » en question qui s’avérait etre un chariot qui se consumait…
William s’en approcha au galop.
Jonathan : Bon sang Will, sa peut être des Hors-la-loi, t’en approche pas ! J’ai pas envie d’annoncer encore une mauvaise nouvelle à Maman !
Mais Will fit la sourde oreille…
William : Mais qu’est-ce que… Nom de Dieu !!!
Jonathan se rapprocha de William au triple-galop, le spectacle était désolant… en effet une charrette était en feu mais il y avait 5 corps à ses cotés… Tous criblés de balles… Les Cadavres étaient plus précisément des Indiens.
William : Oh Mon Dieu ! Mais qui a pu faire une chose pareille !
Jonathan (l’air grave) : Je ne sais pas… Mais pas quelqu’un de bien… Va vite on rentre à la maison !!
Les 2 garçons rentrèrent chez eux au triple galop s’en dire un mot de tout le voyage…

Chapitre 3 : Rage et Désolation :
3 semaines c’était écoulées après l’incident des Indiens.
Bien sur ce fait n’était pas passé inaperçue et la « Gazette de Blackwater » nota que d’autres fait similaires avait eu lieu dans la région. L’auteur de ces crimes serait en fait une bande de Hors-la loi établit dans un vieux fort militaire à New Austin, cette bande répondrez au doux nom de bande de Bill Williamson, et qui en ce moment même sévirait dans la région de West Elizabeth.
Jonathan reposa le journal sur la table du salon, tout cela ne l’effrayait qu’à moitié, à quoi bon être effrayé par une bande d’Indiens criblée de balles alors qu’au front il avait vu des prisonniers de guerres se faire arracher les dents et les ongles, et d’autres atrocités non avouables… Mais la bande de Williamson n’était pas des tendres, Massacre, Viols ou meurtres en tout genre, tels était les tristes distractions de cette bande… Mais sa Jonathan le savait.
Garett : Ah ! Jonathan te voilà ! je te cherchais ! pourrez-tu me rendre un service ?
Jonathan : Euh… Oui, tout ce que tu voudras P’pa ?
Garett : Eh bien à vrai dire, j’y serais bien aller moi-même mais mon dos me fait un mal de chien et ton frère est occupé à traire les vaches…
Jonathan : D’accord, Comme tu voudras ?
Garett : J’ai attaché 2 sacs de blés à ton cheval, et je voudrais que tu ailles les vendre à un certain Travis Miller, il est du coté de Manzanita Post, leurs récoltes à été bouffé par les corbeaux… Enfin ! Tu en aurais pour moi d’une heure…
Jonathan : OK, Je m’en occuperais, et fais attention à ton dos surtout…
Garett : Merci fils, mais ne t’en fais pas pour moi… Sa fait du bien de te revoir parmi nous…
Jonathan sortit du Ranch au trot avec son cheval, ce même cheval était en fin de vie, il était vieux et malade, c’était sans doute son dernier voyage…
Quand Jonathan pénétra dans Tall Trees environ 25 minutes après son départ, il se remémora les histoires passionnantes que lui racontées son Oncle. Oncle Bill ! Voila, maintenant 7 ans qu’il est mort… L’Hiver a eu raison de lui…
Ce qui rendais ses histoires aussi passionnantes et que ces histoires, c’était sa vie ! L’Oncle Bill a été l’un des premiers pionniers a foulé le sol américain. A l’époque ou le territoire était encore peuplé de grandes tribus Indiennes et de Troupeaux de Bisons gigantesques !
Une fois arrivé à Manzanita Post, Jonathan attacha son cheval à une barre d’attelage.
Manzanita Post était n’était ni une ville, ni un patelin pommé, c’était une sorte de « point de passage » à tout les marchands et voyageurs de la région. Pour tout dire Manzanita Post n’était équipé de 2 magasins : 1 General Store ou était vendues des marchandises de première nécessité et d’un Marchand au Gros qui racheté toutes les fourrures, viande et autres denrées des animaux chassés dans les montagnes, forets et autres plaines.
A coté de ces 2 bâtissent, était établie un camp de trappeurs, ce camp était composé d’un feu de camp ou voyageurs et chasseurs se reposés et mangés après de longues journées de voyages, ainsi que d quelque abris de fortune crée à partir de peau de bêtes et de branchages.
Jonathan se dirigea vers le camp de trappeurs, il inspecta le camp puis s’apprêta à partir :
? : Hé Fiston ! Tu es Jonathan Madsen, c’est bien-ça ?
Jonathan : Oui, c’est bien ça, et vous vous êtes Travis Miller j’me trompe ?
Travis : C’est bien ça ! Alors tu as les sacs de Blés ?
Jonathan conduisit l’homme jusqu’au cheval. Travis Miller avait tout d’un véritable Cow-Boy : Chemise à carreaux, pantalons de cheval, revolver au ceinturon, silhouette robuste et massive et Stetson sur la tête.
Jonathan : tenez, les voilà.
Travis décrocha les 2 sacs du cheval et les chargea dans un chariot bâché.
Travis : Merci, pour tout gamin ! Tenez pour vous et vot’famille !
Travis tendit 50 dollars à Jonathan.
Jonathan rangea la somme dans une poche à son ceinturon et repartit vers le Ranch à cheval, pendant toute la route il songea à son avenir, il avait 19 ans et dans 1 an et demi il aurait 20 ans le temps pour lui, songea-t-il de partir vers San Francisco ou sur la Cote Est pour travailler dans la Marine Marchande ou en tant que Docker. Il en avait assez de travailler d’arrache pieds dans un Ranch sans gagner le moindre argent, assez des bandes de Hors-la-loi qui semer la terreur dans région, assez de cette pseudo-guerre entre blancs et Indiens, qui ne rimaient foutrement à rien…
Une 20aine de minutes plus tard quand Jonathan atteignit les collines qui bordaient le Ranch une drôle d’odeur vint lui titiller les narines, il connaissait cette odeur, il ne la connaissait que trop bien… il avait appris à la connaitre pendant la guerre… c’était l’odeur de poudre à canon mélangé à l’odeur de brulé !
Jonathan laissa échappa un cri d’horreur quand il vit une grande colonne de fumée noire s’échapper de derrière une colline ! Il fonça vers le Ranch au triple-galop et constata avec horreur que la grange était la proie des flammes ! Il avança encore plus rapidement auprès de celle-ci :
Jonathan : Papa ! Maman ! Ou êtes-vous !! William où êtes-vous nom de Dieu !!
Jonathan regarda au loin et la scène qui suivit le pétrifia ! Son père était adossé, assis au vieux chêne à coté de l’enclos, il était en sang…
Jonathan courut vers sa position, et le regarda impuissant… Il était déjà mort… son torse et ses hanches étaient criblées de balles…
Les larmes coulèrent le long des joues de Jonathan… il se sentait fébrile… il courut comme il put jusqu’à la maison, là il chercha dans toutes les pièces… personnes… quand il ouvrit la porte de la cuisine il s’effondra en larmes… Sa mère gisait près de la chaudière, morte, elle s’était prise un balle dans la tête… Non loin d’elle, William était mort aussi, on pouvait compter 3 impacts de balles dans son dos…
Jonathan se leva péniblement et sortis de la maison en titubant.. Il pleurait toutes les larmes de son corps... Il tomba à genoux devant la grange en flammes. Des Flashs sur la Guerre lui revinrent en mémoires… des massacres… Des viols… à seulement 18 ans il en avait trop vu…
Mais Qui !? Qui !? à pu faire cela !!! Jonathan à genoux regarda vers le ciel :
Jonathan : POURQUOI !!! POURQUOI !! QU’AVONS-NOUS FAIT POUR MERITEZ CELA !!! AHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!!!!!
Et il s’effondra au sol… en sanglotant…
Jonathan ne sera plus jamais le même à présent…

# Chapitre 4 : …Un Nouveau Départ :
Une semaine, déjà… le temps passait vite…
Jonathan était allongé sur le dos à coté de la grange calciné. Il ne se reposait pas… Il ne pleurait pas non plus… Il était juste ivre mort… le désespoir et la mort l’avait entrainé dans un certain état de dépression… à ses coté une bouteille de Whisky trainée… Vide…
Jonathan se releva avec beaucoup de difficulté, sa tete lui tourné mais il surmonta cela et avança d’un pas incertain… Il avait changé depuis cette semaine qui lui avait changé etre une éternité… Il avait désormais une véritable barbe, pas grande mais fournit, et il empestait l’alcool… Ou il avait noyé son chagrin dans celui-ci…
Jonathan atteignit la barrière qui signifiait la fin des terres de la propriété, il s’appuya contre celle-ci et réfléchis… Pour s’en sortir Jonathan avait besoin d’argent, et l’argent là ou il à le plus de chance d’en trouver c’est à Blackwater… Mais Jonathan était en piteux état… Son cheval venait de mourir il y à 3 jours et il avait une migraine insupportable, des suites de s’être imbibé comme il l’avait fait… il n’était que 9 heures du matin, mais Jonathan était bien mal en point… et il se sentait au bord de vomir tripes et boyaux…
Jonathan se mit en route, laissant derrière lui le Ranch de Beecher’s Hope… ou il avait à présent passé les 19 années de sa vie… Au train ou il avançait il ne serait pas arrivé à Blackwater avant la soirée.
Avançant avec le plus grand mal il trébuchait tout les 5 pas… aucun voyageur ne voulait le laissait à bord de son chariot ou à l’arrière de son cheval…
Dans la soirée, ou plutôt dans la nuit… Jonathan arriva enfin à Blackwater, il avait mis énormément de temps à y parvenir notamment car il avait fais un somme de 2 heures dans les plaines tellement il était mal en point. Le mal était passé mais la fatigue avait pris la relève…
Blackwater n’avait pas énormément changé depuis le jour ou il y avait mis les pieds l’année dernière, le pavage n’était même pas terminé, ni commencé à certains endroits, c’est pour dire…
Jonathan accablait par la fatigue, entra à l’intérieur du saloon par la porte à battant, la seule vue de l’alcool le révulsa, il s’approcha du barman et du hurler pour se faire comprendre à cause du brouhaha environnant. Ivrognes, Prostitués, et clients belliqueux et sans oublié le pianiste provoqué un vacarme incessant dans toute la pièce…
Jonathan : Y’A-T-IL UNE CHAMBRE DE LIBRE POUR SE SOIR ??
Barman : COMMENT !? J’N’Y COMPRENDS RIEN !
Jonathan : UNE CHAMBRE ! AVEZ-VOUS UNE CHAMBRE DE LIBRE !?
Barman : OH BIEN SUR ! MAIS IL NE RESTE QUE LES CHAMBRES LES PLUS CHERENT A 35 DOLLARS !
Jonathan jura silencieusement, il n’avait que 50 dollars en poche enfin ce qu’il lui rester… il avait dépense 4 Dollars pour une bouteille de Whisky qu’il c’était siffler la veille et maintenant il claqué 35 Dollars pour une chambre…
Barman : VOILA LA CLEF C’EST LA CHAMBRE NUMERO 7 !
Jonathan prit la clef et grimpa lourdement les marches jusqu’à sa chambre… il introduit la clef dans la serrure tant bien que mal et pénétra dans la chambre et referma la porte derrière lui… il était dans la pénombre et il s’adossa contre la porte et ferma les yeux pour reprendre ses esprits… la blessure de la mort de sa famille était encore là…
Jonathan s’allongea dans le petit lit et s’endormit presque instantanément… se fut une nuit sans rêve…
Le lendemain Jonathan se réveilla vers 8 heures, il s’habilla rapidement et se rendit au port de Blackwater, là il était sur de trouver un travail.
Une fois arrivé sur les lieux Jonathan ne savait pas à qui demandais un travail, chacun ayant déjà le sien :
Certains docker transporté des caisses, d’autres en chargés sur des navires et d’autres encore revenait de la pêche…
Tout près de l’esplanade de déchargement, Jonathan vit 3 hommes en train de jouer au jeu du couteau il s’en approcha, certainement des dockers, des types pas rasé, l’un d’entre eux porté un tablier souillé de sang, un autre était recouvert de taches noires, surement un mineur…
Jonathan : Euh… Excusez-moi messieurs… J’m’appelle Jonathan… Jonathan Madsen… Je me demandais si vous n’auriez pas du travail pour moi ?
Docker au tablier souillé : Hé Sal ! j’pense que s’pecno pourrait t’intéresser !
Le 3ème et dernier joueur au jeu du couteau, le dénommé Sal portait un pantalon de costume noire et un tablier blanc impeccable mais son visage n’inspirais pas confiance à Jonathan, ce type était mal rasé et avait une longue cicatrice sur le coté gauche du visage.
Sal : encore un de c’est P*tain soldat Yankees revenu du front et sans boulot, P*tain sa fait l’quatrième en un moi…
Jonathan (le regarda froidement) : si vous n’avez pas de travail je peux partir et…
Sal (qui le coupa dans sa phrase) : Nan attends j’ai peut être un boulot pour toi…
Sal se leva, et parti à l’intérieur d’un local fait de bois, Jonathan le suivit.
Sal tendit un balai et un sceau à Jonathan.
Sal : Ton boulot se sera de nettoyer le secteur, donc essaie de le garder propre, j’tiens pas à me faire engueuler par le Marshall par ta faute… Les horaires c’est 6h-22h30 et tache d’être à l’heure…
Jonathan : Et le salaire ? Combien je serais payé ?
Sal : 3 Dollars la journée…
Jonathan (s’étrangla) : Quoi ! Mais c’est peu ! je pourrais pas vivre avec sa !
Sal : Si t’es pas content tu peux aussi allez voir ailleurs pecno…
Jonathan accepta le boulot de mauvaise fois… Certes il s’attendait à mieux… Mais il avait besoin d’argent, c’était un besoin vital !
Cela faisait maintenant plus d’un moi et demi que Jonathan travaillait pour le compte de Sally Clayton. Son quotidien se résumé à travaillait sans relâche de 6h du matin à 22h30 au soir pour un piètre salaire qu’il n’obtenait parfois même pas et puis quand il rentré dans sa chambre au saloon il était complètement vanné chaque soir, le même refrain.
Mais un soir aux alentours de 22h15, alors qu’il n’y avait plus un chat dans les rues de Blackwater, Jonathan s’assit sur un banc pour se reposer un peu.
? : Hé pssst, mon gars par ici !
Jonathan, se retourna et vit 2 hommes, dont celui qui l’avait interpellé. Un frisson le parcouru, en effet les 2 hommes portés des bandanas, l’un été équipé d’un long crochet en métal et l’autre d’un gourdin.
? : n’ai pas peur mon gars, on voudrait juste que tu nous rendes un service…
Jonathan : Euh… Ouais… Vous voulez quoi ?
? : Tu vois ce magasin d’alcool, eh bien mon pote et moi on va aller chercher le fric qui si trouvent et j’aimerais que tu fermes sur ce qui va s’passer donc j’te file ça…
Jonathan n’en croyait pas ses yeux, les cambrioleurs lui avaient offert 15 Dollars !! Plus qu’il ne gagnait en une journée de travail !
Jonathan n’eu pas le temps de les remercier, les malfrats étaient déjà occupé à forcer la serrure du magasin pour y pénétrer.
Jonathan quitta les lieux et regarda ses 15 Dollars… Après tout il fallait peut être arrêtait se métier qui ne mener à rien ? Et passer à l’argent facile…

Chapitre 5 : Petits larcins :
Jonathan avait fini son petit déjeuner et se trouver adossais contre un mur, tout sourire, le premier depuis la mort de sa famille… Jonathan aurais aimé revoir les hommes qui lui avait offert ces 15 Dollars.
Cela faisait maintenant 2 heures qu’il attendait mais il du se résigner, déçu à partir… Lorsque soudain quelqu’un l’interpella :
? : Eh mon gars ! Tu te souviens de nous ?
La joie remplit le cœur de Jonathan, il reconnaissait la voix du bienfaiteur qui lui avait offert l’argent la nuit dernière !
Le gars qui manier le gourdin la nuit dernière et qui lui avait donné les 15 Dollars se prénommait Ted Bimgham, il avait des cheveux châtain court et une barbe de 3 jours, il portait une veste marron assez avec assez de classe tout de même. L’autre, « Le type au crochet » était un peu plus enrobé et s’appelait Jeff Linley, lui par contre était rasé mais avais de long cheveux noir.
Ils marchèrent un peu tout les 3 et apprirent à se connaitre, ils arrivèrent dans une ruelle de Blackwater et s’assirent sur des caisses qui trainaient par là.
Ted : Franchement, on te remercie vraiment pour nous avoir aidé hier soir…
Jonathan : Je ne vois pas en quoi je vous ai aidé puisque je devais acceptez votre argent et partir…
Jeff : Oui mais toi tu étais beaucoup plus réceptif…
Enfin, on a préféré te choisir car un jour figure toi, nous avons demandé la même chose à quelqu’un et il a sortit son flingue et à commencé à nous canarder…
Ted : Oui sale journée… ce jour j’men suis sortis avec une balle dans le bras…
Jonathan : Mais je n’étais pas armé… enfin je vous remercie de votre gentillesse en tout cas !
Jeff : AHAH ! Notre gentillesse… enfin sa nous fais plaisir !
Jonathan : Au fait… j’aimerais vous demandé… Je pourrais travailler pour vous… enfin avec vous ?
Ted et Jeff se regardèrent et échangèrent un regard complice.
Ted : Eh bien, à vrai dire, on s’attendait à ce que tu nous le propose… et comme nous recherchons quelqu’un, c’est parfait !
Jonathan : Génial ! Au moins sa me sortiras de la M*rde dans laquelle je suis en se moment…
Les 3 Jeunes hommes quittèrent Blackwater et établirent un campement dans les plaines, Ted et Jeff préféraient cela car ils étaient recherchés par la loi dans la ville…
A la tombé du jour les 3 garçons mangèrent une biche fraichement chassés et discutèrent.
Jonathan : Alors ? Hier, soir vous avez fait cartons pleins chez le vendeur d’alcool ?
Ted : A vrai dire, on est rentré moins chargés que d’habitudes…
Jeff : Ouais, on a trouvé 240 Dollars, 3 bouteilles de Whisky et 2 de Rhum.
Jonathan : Pas mal !
Ted : Et regarde ça !
Dis Ted en sortant les bouteilles d’alcools
Jonathan était heureux, le sentiment de vengeance était toujours présent dans son corps mais il avait besoin d’argent et d’allié solide pour avancer…
Les 3 Jeunes Hommes se saoulèrent jusqu’à des heures tardives tout en racontant blagues et anecdotes…
Le lendemain matin, à la lever du jour, le temps était à la réflexion et la préparation.
Ted : Bon, Jonathan aujourd’hui sa va être ton baptême du feu, si je puis dire.
Jonathan : Bien, Et qu’es-ce que l’on va faire ?
Jeff : On va mener une attaque contre le Général Store de l’Old Harry’s
Ted : On va piquer le fric et prendre les objets de valeurs, t’es avec nous ?
Jonathan réfléchit de longues minutes, devant lui ses compères étaient impatients de savoir sa réponse.
Jonathan : Ouais… Ouais, j’en suis.
Jeff : A la bonne heure !
Jeff sortis aussitôt de revolver d’une besace, 2 revolvers Cattleman flambant neuf plus précisément.
Ted : Désolé, mais tu manieras pas ça aujourd’hui, c’est pour moi et Jeff, je veux pas qu’un coup parte accidentellement, tu comprends ?
Jonathan : Tu sais je reviens du casse-pipe et…
Jeff : Oui on sait tu nous la dis hier soir quand t’était complètement bourré ! AHAHA !
Les 3 garçons éclatèrent de rire. Vers Midi ils se dirigèrent vers le Général Store de Blackwater.
L’Excitation mélangé à la peur, saisissait Jonathan, il avait peur d’abattre quelqu’un… même si lui était équipé que d’un poignard, il avait vu bien pire au front… et il ne voulait pas que cela se reproduise ici…
Les 3 garçons arrivèrent devant la porte du magasin, ils enfilèrent leurs bandanas pour rester anonyme. Tous, armes à la main…
Avant de pénétrer dans la boutique Ted se retourna une dernière fois vers ses complices.
Ted : Je veux une action, rapide, efficace et persuasive, compris ?
Ted enfonça la porte du magasin, dans la boutique se trouvait 3 clients plus le vendeur.
A la vitesse de l’éclair, Ted pointa son revolver vers le visage du vendeur, Jeff tenait en joue, un couple dans un coin de l’épicerie. Jonathan quand à lui tenait son poignard devant une jeune femme, pétrifié de peur… Elle laissa échapper une larme… Jonathan n’aimait pas faire cela mais il n’avait pas le choix…
Ted, posa un sac de toile sur le comptoir devant le vieux Harry, un honnête commerçant qui avait donné de toute sa vie pour cette boutique…
Old Harry avait un crane abondant de cheveux blancs, ainsi qu’une barbe de même couleur, La sueur qui coulait à flot de son visage trahissait un sentiment de peur…
Old Harry remplit le sac de toile de tout l’argent qu’il disposait dans ses tiroirs.
Ted : MAIS TU TE FOUS DE MOI LA ! TA QUE CA COMME POGNON, P*tain MAIS…
Jeff : P*tain FAUDRAIS QU’ON Y AILLES LA !
Ted : JE VAIS TE COLLER UNE BALLE DANS LA TETE LE BARBU…
Jeff : BORDEL DE M*rde ! IL FAUT VRAIMENT VRAIMENT QU’ON Y AILLE LA !
Ted n’eu pas le temps de répondre car une balle tiré depuis l’extérieur du magasin vint se ficher dans le bois du comptoir. Ted emporta le sac et plongea à même le sol pour éviter une nouvelle salve de balle qui firent exploser la vitrine du magasin… Jeff et Jonathan sortirent en trombe de la boutique, dehors à l’angle d’une rue, 2 adjoints du Marshall, Cattleman aux poings, arrosés copieusement les 2 complices…
Jonathan courus se réfugier dans une ruelle avec Jeff. Jonathan était emplie d’un sentiment étrange et effrayant, un sentiment qu’il avait bien connu pendant la guerre… son cœur tambourinait à exploser… Le sentiment de mort imminente comme on l’appelait au front…
Ted était resté dans le magasin, et ne pouvais pas prendre le risque de sortir et de rejoindre ses compagnons dans la ruelle, sous peines d’être hachés menue par les balles de adjoints…
Jeff surgit de la ruelle et vida son barillet sur les adjoints, 3 balles atteignirent un adjoint les 3 autres se perdirent dans le décor. L’adjoint n’était pas mort mais salement amoché… Il s’était pris 2 balles dans le torse et 1 dans la jambe…
Les 3 garçons réussirent à prendre la fuite dans les plaines… Jonathan avait un sentiment amer…
Tout ça pour au final, 75 Dollars… et un homme grièvement blessé laissait derrière eux…

Chapitre 6 : Le Bon, La on parle pas comme ça >:( et le Truand :

PS: Musique d'ambiance rajouté au chapitre ^^

Après les tristes événements du Général Store les 3 compères se partagèrent le maigre butin : 25 Dollars chacun…
La bande laissa passer une semaine sans commère d’autres incivilités pour pouvoir faire le point et réfléchir sur pourquoi tout était allé de travers… Certes Ted s’était emporté… Si l’adjoint avait visé plus juste, Ted l’aurait payé très cher…
Après ces évènements, une semaine plus tard, les compères recommencèrent leurs larcins pour renflouer leurs argents personnels…
Vols de chevaux, Agressions de Voyageurs et plus récemment le juteux braquage d’une diligence à la lisière de Tall Trees , qui avait apporté 500 Dollars à Jonathan et au 2 autres camarades !!! Mais, Jonathan s’en était tiré avec une jolie cicatrice à la gorge… Il avait eu chaud… au dernier moment le conducteur avait ouvert le feu sur le premier malfaiteur qu’il vit… et ce fut Jonathan… la balle lui effleura la gorge à 1 centimètres… une petite erreur et il n’était plus de ce monde… il avait désormais une belle et droite cicatrice le long de la gorge… Pour sa peine le conducteur eu droit à un coup de crosse dans la mâchoire… enfin… sale journée… mais jolie butin.
Cela faisait maintenant 1 moi que Jonathan, avait intégrait la petite bande et ce soir n’allait pas être une soirée au campement comme les autres.
Jeff et Ted avait eu l’envie de fêter le braquage de la diligence et de se remettre de leurs émotions au saloon de Blackwater, qui à cette heure aussi tardive de la nuit, l’alcool coulait à flot, la bonne abondait et prostituée affluait.
La joyeuse bande fit donc route joyeusement vers l’établissement.
https://www.youtube.com/watch?v=LHouWALbuiI&feature=related
Entré à l’intérieur, le saloon avait clairement une autre ambiance que quand il y avait mis les pieds les jours ou il travaillait pour Sal… Le saloon était bruyant comme une écurie bondée en pleine orage… une bande d’ivrognes joyeux chantaient des chansons paillardes à tue-tête, dans le coin un pianiste à la coiffure et au costume impeccable jouait comme un dératé, sur un table au centre se disputait une bruyante partie de poker, au comptoir des prostituée vêtues de jupes à froufrou bien trop courtes, était en train d’aguicher le poivrot à moitié dans le coltard…
Bref, une bonne ambiance !!!
Les 3 jeunes hommes se firent une place et commencèrent à boire jusqu’à plus soif en racontant des blagues bien souvent douteuses sur les femmes…
Jeff était ivre mort la tête entre les mains sur le comptoir et déblatérait des phrases sans queue ni-tête. Ted entre 2 rires (et 2 verres aussi !) s’adressa à Jonathan :
Ted : Eh, Johnny Boy tu connais l’histoire de la bonne sœur dans la maison close qui… Et Johnny ? EH OH !!! Reste avec moi camarade !!
Jonathan : Hein !? Je… Euh… Tu disais ?
Ted : Allez… J’ai vu comment tu regardais cette petite pucelle là-bas… attends je vais aller la voir ci elle te plait ! AHAH !
Jonathan : Eh nan attend !! J’ai rien demandé moi !!
Jeff se redressa et vomi tripes et boyau sur le plancher se qui provoqua l’hilarité de 3 ivrognes accoudait au comptoir.
Ted c’était approchais de la « petite pucelle » et lui glissa quelques mots à l’oreille, cette dernière regarda Jonathan et éclata de rire. Cette « petite pucelle » comme disait Ted était en réalité une prostituée, elle produisait un drôle d’effet sur Jonathan, de l’amour ? Il n’en savait rien… Il n’avait jamais rien éprouvait de tel…
Cette fille de joie avait l’air très jeune… à peu près le même âge que Jonathan… Si jeunes tout les deux… Et déjà vécues les pires situations… La on parle pas comme ça >:( et le Truand…
La jeune fille était une jolie rouquine, les cheveux rattachés en arrière par une sorte de pince, les vêtements trop courts pour son âge… Un peu plus petite que Jonathan… les joues poudrées de rose…
Jonathan était tellement absorbé par cette contemplation qu’il ne vit pas arrivé Ted qui le pris par le bras et l’emmena à l’encontre de la jeune femme.
Ted : J’lui est refilé 10 Dollars, tache de me rembourser… Amuse-toi bien !
Jonathan : Hein !? Mais… Je…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase la jeune femme lui prit les poignées et l’entraina dans une des chambres.
https://www.youtube.com/watch?v=pkvXsLGAxqY
Jonathan s’en souviendra de cette nuit… ce n’était pas une nuit spécialement torride mais, cette nuit là il n’avait jamais donné autant d’amour à une femme…
Après l’acte les 2 jeunes étaient allongé cote à coté sur le lit… La jeune femme se rhabillant pour repartir ensuite…
Jonathan (demanda timidement) : au fait… Hum… Comment tu t’appelles ? …
? (Répondit, souriante) : Charlotte… je m’appelle Charlotte.
Jonathan : écoute sa va peut être te paraitre stupide mais… J’ai… J’ai bien aimé être avec toi là…
Charlotte : Eh bien écoute… Moi aussi… Tu n’es pas comme les autres types ici…
Jonathan (Tout sourire !) : Tu serais d’accord pour que l’on se revoit ?!
Charlotte : Eh bien … Je ne sais pas encore… Oui… enfin non… Je ne sais pas… Oh mon Dieu l’heure tourne il faut que j’y aille !
La jeune femme sortit de l’établissement en tout hâte, Jonathan eu à peine le temps de se rhabiller et alla au balcon pour voir la jeune femme sans aller sans doute une dernière pensa-t-il…
Il suivît Charlotte du regard jusqu’au lointain… à l’angle d’une rue… Mais il aperçut un homme qui l’attendait… La discussion avait l’air animé… Soudain, l’énergumène gifla la jeune femme et la traina par le bras hors du champ de vision de Jonathan…

Chapitre 7 : Escapade à Armadillo :
Jonathan revivait enfin ! La belle Charlotte lui avait redonné le gout à la vie ! ce n’était pas qu’une simple prostituée… Il se voyait de plus en plus souvent, mais une question lui trottait dans la tête… Qui était l’homme qui avait levé la main sur la jeune fille il y une semaine de cela ? La jeune fille avait parlé d’une connaissance… Un certains Rascal Reynaert… Mais il ne pu soutirais d’avantages de Charlotte.

Jonathan et Ted se détendait dans l’une des chambres les plus chères du saloon de Blackwater (qu’ils avaient bien sur acquis avec de l’argent durement et surtout violement dérobé). La chambre était spacieuse et équipé de meuble en chêne et de canapés en cuir de grandes valeurs, les murs étaient tapissaient de trophées de chasse en tout genre, comme des têtes de cerfs, de couguars ou autres élans…

Soudain Jeff entra en trombe dans la pièce, ce qui réveilla en sursaut les Ted et Jonathan.
Jeff : Les gars ! Il faut vite qu’on se tire d’ici !!
Ted : Hein !? Mais qu’est-ce que tu racontes ?
Jeff : Regarde-ça !
Jeff tandis la dernière édition de la « Gazette de Blackwater »
Ted lut l’article que Jeff lui indiquait du doigt à haute voix :
Ted : « Depuis peu, dans les contrées de West Elizabeth et dans la noble et belle ville qu’est, Blackwater, une bande de criminels de basses catégories s’amuse à terrifier et voler l’argent des honnêtes travailleurs de la région. Les autorités et hommes de lois de West Elizabeth vont tout mettre en ordre pour arrêter les-dit criminels… Des avis de recherches ont était placardés dans les villes et comptoirs environnants, le Marshall de Blackwater et ses adjoints sont prêt à en découdre avec cette bande et on également fait appel à des chasseurs de primes pour arrêtés cette bande de renégats Desperados … » Ted, arrêta la lecture de l’article, le visage blême, et envoya valser de rage le fauteuil en cuir sur lequel il était assis contre une commode.

Jonathan : Et M*rde !
Jeff : P*tain ! Mais qu’est-ce qu’on va faire !?
Ted, songeur, réfléchit profondément et finalement annonça :
Ted : Armadillo, on va aller à Armadillo. On va prendre les chevaux, le voyage va être long mais au moins se sera plus sur que de prendre le train.
Jonathan : ça veut dire qu’on ne reviendra pas à Blackwater, ni à West Elizabeth ??
Ted : Je ne pense pas… On à la loi sur le dos… Mieux vaut se planquer à New Austin…
Ted et Jeff préparèrent leurs affaires en toutes hâtes, ils scellèrent les chevaux et s’apprêtèrent à partir quand…
Jonathan : Prenez de l’avance les gars, j’ai quelque chose à faire…
Jeff : Hein !? Mais tu te fous de notre gueule !? On est recherchés je te rappelle !! Et…
Jonathan : JE SAIS !! Mais j’ai quelque chose à régler, prenez de l’avance, je vous rejoindrez…
Jeff : Ok, J’espère que tu sais ce que tu sais ce que tu fais…
Les compères allaient se séparé quand Ted s’adressa à Jonathan :
Ted : Si… Tu te fais coincer… Tu fais quoi ? …
Jonathan : Vous en faites pas … Je vous balancerais pas…
Sur ce, Ted et Jeff quittèrent Blackwater au triple-galop. Jonathan retourna à l’intérieur du saloon, pressé, il devait trouver Charlotte et quitter la ville au plus vite…

Il s’approcha d’une des amies de Charlotte, July, une prostituée elle aussi… Mais elle était beaucoup plus expérimentée, tout d’abord elle était plus âgée et avait une voix totalement fusillée par le tabac… des cheveux bouclé et complètement crasseux… Bref, une vieille poule en sorte…
Jonathan : Excuse-moi, t’aurais pas vue Charlotte ?
July : Hé ! Voilà l’étalon qui retourne à l’écurie, nan je sais pas ou elle est, mais si t’as une envie pressante tu peux venir me…
Jonathan : Euh… nan… Je dois vraiment y aller là !

Jonathan sortis en trombe de l’établissement. M*rde ! Mais ou pouvait elle être se pesta Jonathan, il l’a chercha pendant un long quart d’heures… et soudain, il la vit ! Accoudés à la barrière près du chemin de fer de la ville.

Jonathan alla à son encontre. Elle était vêtue d’une robe blanche et avait dénouée ses longs cheveux roux, la plus belle femme que Jonathan n’avait aimée…
Jonathan : Charlotte ! Dieu merci tu es là !
Charlotte : Jonathan !? Mais qu’es-ce tu fais là ? Pars il ne faut pas que…
Jonathan (souriant) : Charlotte, finit cette vie, je veux t’emmener avec moi ! Nous aurons assez d’argent ! Tu ne seras plus obligée de te vendre pour gagner de l’argent ! Je t’en pris viens avec moi à Armadillo !
Charlotte : Je suis désolée… Mais… Je ne peux pas ! …
Jonathan (perdant espoir) : Mais ! … Pourquoi !? Tu m’avais dit que tu voulais quitter cette vie ! Je ne comprends pas !... Qu’est-ce qui t’en empêche ??
? : Ah ! Te voilà sale garce !!
Les larmes roulèrent abondamment sur le visage de la belle.
Charlotte : Voilà pourquoi je ne peux pas partir avec toi…
Rascal Reynaert, tel était le patronyme de l’homme qui venait de trainé dans la boue la douce jeune femme. Rascal était un homme fin mais sec, le genre d’homme hargneux comme un chacal qui vous boufferait tout crue si vous aviez le malheur de baissez votre garde ! Son crane dégarni et ses dents jaunes et noirs ravagés par la chique du tabac envoyé des postillons dégoutants sur l’assistance… Reynaert était l’homme qui s’occupait de la majorité des prostituées du saloon de Blackwater, en gros l’argent qu’elles gagnaient lui revenait…

Il saisit la jeune femme par les cheveux et l’emmena avec lui…

S’en était trop… Jonathan ne pouvait pas laissait cette brute emmenait la fille qu’il aimait comme sa sans rien faire…
Il courut à l’encontre de Rascal, lui bloqua le passage et lui assena un violent coup de tête en pleine face, avant même que celui-ci ne puisse rétorquer il lui assena un direct en plein ventre, puis un crochet droit en pleine mâchoire. Rascal rampait sur le dos et tenta de se dégager de son adversaire, il cracha un filet de sang sur le plancher de la gare.
Rascal : (poussa un cri de douleur) : Aaaaaaaaaaaah ! Enfant de Salaud !!! AHAHAHA tout ça pour une P*tain ! AHAHAHA

Jonathan explosa la tête de l’incongru à coup de pied à 3 reprises…

Jonathan entraina Charlotte par la main en vitesse pour éviter de se faire repérer par les badauds.
Ils prirent un cheval et se filèrent au galop vers les plaines baignées par le soleil couchant…
Générique : https://www.youtube.com/watch?v=nHWKUvLtM_4
(La fic n’est pas terminée bien entendue ^^)

Chapitre 8 : Petites trahisons entre amis :
Jonathan et Charlotte était arrivés à Armadillo dans la soirée, ou ils avaient acheté une chambre dans le saloon de la ville.

Ah Armadillo ! Cette ville toute récente avait était créé par les colons anglais en 1852, paumé là au beau milieu du désert de sable brulant, et de cactus à perte de vue. Un petit patelin paumé au beau milieu des coyotes, vautours et autres bestioles à la con…
La ville n’était pas très grande, elle était construite selon les plus grandes traditions de l’Ouest, c’était une ville « couloir », équipée de son bureau de Sheriff, son saloon bien entendu, son maréchal Ferrand, son General Store, son médecin et son armurier.

Armadillo était connue pour sa mauvaise réputation, un effet, c’était la dernière ville des Etats-Unis, cette ville servait de point de passage avant le Mexique… Il n’était pas rares de voir éclater une bagarre ou un duel dans cette ville, plusieurs bandes se disputé le contrôle du patelin, comme notamment la Bande des voleurs de bétails dirigés pas les jumeaux Ike et William Bollard, ainsi que par la bande de Walton qui volait les richesses des voyageurs et commettait des meurtres et viols en tout genre. Certes, Jonathan ne serait peut être pas à l’abri de ces criminels mais au moins la loi ne l’y chercherait pas… Et il s’était juré de protéger Charlotte jusqu’à la mort…

Jonathan avait passé une excellente soirée en compagnie de Ted, Jeff et bien sur, la douce Charlotte. Une soirée bien arrosée en soi…
Lorsque Jonathan se réveilla, une douleur atroce lui vrilla le crane… La gueule de bois avait frappé…
Il se leva avec grande difficulté et du se retenir de ne pas vomir… Il inspecta la chambre de saloon qui était toute sans dessus-dessous à cause de la soirée passé… les meubles était renversée, les draps maculés de vomi, et une forte odeur d’urine se dégageait d’un des coins de la pièce…

Jonathan sortis de la chambre, il descendit l’escalier avec une lenteur déconcertante…
Le plus étrange c’est qu’il ne vit ni Ted, ni Jeff, ni Charlotte…
Il les chercha dans la pièce principale du saloon en vain… Jonathan se dirigea vers le comptoir ou derrière le barman était en train de nettoyer des verres à Whisky.
Jonathan : Excusez-moi, Monsieur, vous n’auriez pas vue les types qui m’accompagnaient hier soir ?...
Barman : Non désolé, rien vu…
Jonathan s’apprêta à partir quand le barman rajouta :
Barman : par contre j’ai vu 2 hommes, des espèces de chasseurs de primes, ils ont emmenés une jeune femme avec eux… Une petite rouquine… Fort jolie d’ailleurs…
Jonathan blêmit… des chasseurs de primes !? Oh mon dieu ils l’avaient traqué jusqu’à New Austin ! Si il avait à un seul cheveux de Charlotte ils allaient le regretter !! La rage et le désespoir emplit le cœur de Jonathan, il aimait cette fille de tout son cœur… il n’accepterait pas que ces types là tue… Ou… la… enfin… AH… Il ne voulait pas y penser, il devait la retrouver coute que coute !
Inconnu : AHAH regarde sa Gustav ! l’conneau vient de se réveiller avec sa gueule d’enfariné.

2ème Inconnu : Cette fois on te tient enfoiré !
Jonathan fit volte face et vit 2 hommes vêtues de cache-poussières et de grands chapeaux marrons, pas de toutes c’était bel et bien les chasseurs de primes…
Le barman prit la poudre d’escampette dans l’arrière-boutique.
Chasseur 1 (braquant son Cattleman sur Jonathan) : tu bouges t’es morts enfoiré compris !? Aller maintenant avance les mains bien en évidence qu’on puisse te ligoter…
Jonathan, baissa la tête de rage, ces crapules allait le ligoter et le mettre au trou à Blackwater… il ne voulait vraiment pas cela, il pensa à Charlotte… Si ces ordures avaient profitée d’elle… Cette pensée le réveilla et il donna un puissant coup de pied dans la chaise devant lui, le meuble valsa en directions des chasseurs de primes. Jonathan profita de se moment de confusion pour sauter à couvert derrière le comptoir… les 2 chasseurs de primes, énervés crachèrent toutes la puissance de leurs Cattleman sur la position de Jonathan… Le comptoir fut criblé de balles et des bouteilles volèrent en éclats sous les coups de feu… Jonathan profita du rechargement des armes de ses adversaires et jaillit par-dessus le comptoir en ayant prit soins de prendre une bouteille récupérer au sol. Fou de rage, il éclata la bouteille sur la tête du premier des agresseurs… il se prépara, à assena un coup avec ce couteau improvisé mais il se prit un violent coup de crosse dans la mâchoire.

Jonathan était cloué au sol, il voulut se relever mais prit un direct en pleine face… Une pluie de coup s’abattit sur le visage et le ventre de Jonathan…
Il ne réussit plus à bouger… Les agresseurs le ligotèrent et l’emmenèrent à l’arrière d’un cheval, s’en était finit … Jonathan aller être enfermé pour de bon… Mais bizarrement les 2 cavaliers ne prirent pas la route de West Elizabeth mais ils s’enfoncèrent dans le désert aride de Cholla Springs…
La chaleur, la douleur et les soubresauts du voyage firent perdre connaissance à Jonathan…

A son réveil Jonathan se trouvé dans un petit campement au beau milieu du désert… Sa vue était brouillée… Au fur et à mesure que sa vue s’améliorer il vit une masse composée de 6 personnes… d’abord floue puis clairement… L’une d’entre elles était allongée et ligoté… C’était Charlotte ! Son visage était tuméfié, les salauds !

Les autres personnes était les 2 chasseurs de primes, Rascal Reynaert mais qu’est-ce qu’il foutait là lui !? Et plus curieux encore, Ted et Jeff, debout et non ligoté.
Ted : Désolé vieux frère… mais tu sais ce que c’est… le fric… ta une jolie prime sur ta tête…
Jonathan : espèce de crevure !!
Ted : C’est une jolie plante que l’on a là (dit-t-il en désignant Charlotte…, il la saisit par les cheveux et s’apprêta à l’embrasser…)
Jonathan : Ne là touche pas sale enfant de P*tain !! Arrrgh
Charlotte pleurait timidement, Jonathan ne voulait pas être témoin de l’acte le plus vil qu’un homme puisse faire à une femme…
https://www.youtube.com/watch?v=7xOmRM3eleQ

Quand à Rascal Reynaert, salement amoché, se dirigea, couteau en main à l’encontre de Jonathan…
Il lui cracha au visage puis lui planta son couteau dans le bras gauche…
Jonathan : Ahhhhhhh !!
Rascal : ALLEZ SAIGNE !!! SAIGNE ENFANT DE P*tain !!!!
BAM !!!!
Un coup de feu retentit dans les vastes étendues de Cholla Springs…
Ted, lâcha brusquement les hanches de Charlotte, il avait était touché a la jambe…
Ted : Ahaaaaaaa ! M*rde ! M*rde, M*rde ma jambe !!!
BAM ! BAM ! BAM !
3 coups de feu supplémentaires… abattirent les 2 chasseurs de primes et Jeff, d’un balle dans la tête chacun…
Ted, apeuré et blessé pris la fuite dans le désert en boitant… Quand a Rascal il marcha a reculons, la peur au ventre…

Jonathan parvint à se détacher et saisit le Cattleman d’un des défunts Chasseur de primes…
Il braqua le revolver contre le visage de Rascal… Ce dernier était en sueur…
Jonathan : ça ! C’est pour avoir osé lever la main sur Charlotte…
BAM ! il lui envoya une balle en pleine gorge ! BAM BAM 2 autres rejoignirent son front…
Jonathan ivre de rage, laissa tomber le revolver fumant sur le sable chaud…
Il se retourna et vit 2 hommes… tout 2 le sourire aux lèvres…
? : Pas mal pour un jeunot ! Wildcat Jones pour vous servir !

# Chapitre 9 : Une bande de joyeux lurons :
Wildcat Jones… Tel était le nom du fameux sauveur de Jonathan et Charlotte. Mais étrangement ce n’était pas lui le tireur… Le tireur était son acolyte : Carles Fortuna. Carles Fortuna était un immigré Mexicain venu s’installé à New Austin peu de temps avant la guerre de Sécession, il n’était pas plus âgé que Jonathan et il avait une petite barbe et des cheveux mi-long qui lui tombés derrière la nuque.
Il avait également une petite cicatrice au niveau de l’arcade sourcilière gauche. Quand à ce dénommé Wildcat Jones avait 25 ans, il avait des cheveux longs blonds avec une crasse douteuse… Il avait également une barbe de 3 jours. Il était vêtue d’une veste marron assez chic et d’un pantalon de cheval et bien sur ! D’un chapeau Stetson.

Cela faisait maintenant 3 jours que Jonathan et Charlotte avait été sauvé par les 2 hommes.
Carles et Wildcat faisait parties d’une bande de hors-la-loi qui sévissait un peu partout dans L’Ouest…

Durant ces 3 jours, Jonathan avait fait connaissance avec les autres membres de la bande comme

Les membres n’étaient pas tous très glorieux mais les voici :
-Bucky « Le Boucher » Sligo, c’était un gaillard, robuste, souvent ivrogne… c’était un des membres les plus vieux de la bande, il avait 35 ans, malgré son âge il avait déjà les cheveux grisonnant, cette homme était un vrai Mastoc : Mâchoire carré, regard noir, cicatrices, aimable comme une porte de prison, tout y était… Le surnom du « Boucher » lui venait qu’il portait une préférence pour toutes les armes contondantes du types couteaux, haches ou autres hachoir… Il avait un jour massacré une bonne dizaine de personne dans la même journée… à Gerber…

-Cliff Johanson, alias « Le Bon », cet homme était un grand blond à la barbe fournit et au regard enfantin, mais qui n’en était pas moins attention… Il s’était juré de protégé la veuve et l’orphelin… à sa manière… il était vêtu d’un poncho Mexicain et d’un pantalon de cheval marron. C’était un des meilleurs tireurs de la bande…

-Le vieux, cet homme était le doyen du gang, un ivrogne d’une soixantaine d’année qui suivait le gang dans tout ses coups crapuleux, Le vieux était ainsi son patronyme, tout d’abord car le gang l’avait toujours trouvé vieux, puis ensuite le vieux était devenu un nom pour lui… étant donné qu’il ne souvenait plus du sien…

-Archibald Horpe alias « Little Irish » little Irish était un Irlandais de 22 ans, c’était un gringalet, timide… il avait des cheveux hirsutes et roux ainsi qu’une barbe bien fournit, il parlé peu mais il s’avérait un excellent tireur avec son Revolver Double-Action.

-Nastas, ce jeune homme, la bande elle-même n’en sait que très peu sur lui… le peu de chose que nous savons sur lui et qu’il faisait partie d’une tribu indienne qui a été exterminé par l’armée Américaine pour « s’amuser », il en fut marqué à vie, et il haïssait les américains pour ce qu’il avait fait…

Le gang comptait encore de nombreux membres mais certains n’était pas disponible, ou encore avait gagné leurs places pour Coot’s Chapel…

Dans l’après-midi, au saloon d’Armadillo, Wildcat vint chercher Jonathan, il voulait le présenter au chef du gang : Heinrich von Kestrel, un Allemand de 36 ans, sombre et mystérieux, tout de noir vêtu, portant le large chapeau noir et le cache-poussière qui s’y accordait, ainsi qu’une moustache grisonnante.
Von Kestrel était assit à une table du saloon, qui était désert à cette heure-ci… il fumait un cigarillo et avait entamé une bouteille de Rhum. Il invita son hôte à rejoindre la table, Jonathan s’assit.

Heinrich : Un cigarillo ?
Jonathan : Non merci…
Je m’appelle Jonathan Mad…
Heinrich : Je sais qui tu es… Une chance que mes hommes t’es trouvé, toi et ta copine… Tu ne trouves pas ?
Jonathan : Ah… Euh… Oui, je vous en suis vraiment reconnaissant… Merci de votre aide…
Heinrich : A vrai dire si ils ont intervenu c’est que je leurs ai demandé… mais nous en reviendrons plus tard… Parlez-moi un peu de vous, Jonathan Madsen…

Jonathan : Eh bien je… Par ou commencer… eh bien j’ai combattu dans le Wisconsin… Contre les Sudistes, Mon frère en ai mort… Après la Guerre, j’ai essayé de me ranger, de… de me reconstruire auprès de ma famille… mais… elle… a été… massacrée… Je ne sais pas qui a fait ça…
J’ai donc fait des petits boulots… après j’ai rejoint une bande… qui ma ensuite trahie… et vous m’avez sauvé…
Heinrich : Triste vécu… Je sens ici un jeune homme, enfin un homme bientôt, loin de chez lui… Triste et en colère… se raccrocha qu’a une infime étincelle d’espoir… à ce propos… parlez-moi de votre amie, Charlotte c’est cela ?
Jonathan : et bien… Je … (Jonathan rougit honteusement) C’était une prostituée… J’ai réussi à la sortir de l’homme qui « l’employé »… Je… Je… l’ai tué…
Heinrich : Quel courage… J’admire vraiment ! Parfois les choix sont compliqués… Parfois… Un acte d’amour et un acte de haine se ressemblent tellement…
Mais qu’est-ce qui vous motive à gagner de l’argent de cette façon ?
Jonathan : Eh bien… J’ai besoin d’argent… Et vite… Je compte faire cela qu’un temps… Je veux assurer un avenir stable pour Charlotte… Qu’elle ne retombe pas dans la prostitution… Je ne me le permettrais pas… Et… Je VEUX prendre mon temps et retrouver ceux qui ont tué ma famille…
Heinrich : Bien… Très Bien même…
L’air Sérieux et mystérieux de Von Kestrel laissa place à un sourire chaleureux et des yeux d’une profonde amitié.
Heinrich : Bienvenue dans la famille Jonathan !

PS: La suite est peu être un peu courte et moins soutenu mais se soir je suis assez fatigué excuser moi ^^

Je l'ai déja lu sur Jv.com mais ca fait plaisir de te voir ici.

Merci Mais ma fic est loin d'être terminée ^^ merci de votre soutiens

C'est long mais interessant

Elle est LOIN d'etre finit si sa peut te rassurer

je la lirais quand même

Tu croyais quand meme pas que j'allais finit ma fic par un big "PAN PAN BOUM BOUM" et que Jonathan se tape Charlotte pendant 30 minutes et hop finit

Ben pourquoi pas

Un des chapitres et: Le Bon, La P*te et le Truand PAS Le Bon, La on parle pas comme ça etc... --'

Ne post pas trop de chapitres en même temps ^^ Ca fait un super pavé mais je le lirait avec grand plaisir, demain

Fox : oui je sais mais la fic était déja sur JVC donc j'ai tout mis d'un bloc ^^ et puis elle n'est pas finit ^^

Chapitre 10 : Le bon ami de la bande :
Jonathan était maintenant intégré dans la bande, il avait tissé quelques liens avec quelques membres du gang, comme notamment Carles ou Wildcat, et un peu avec « Le Bon »… Mais d’autres membres étaient plus réticent comme « Le Boucher » qui était sans cesse de mauvaise humeur et qui ne pensait qu’à utiliser ses poignard sur quelque chose… de plus il reluqué Charlotte comme un morceau de viande… Ce qui commencé à énerver Jonathan.
Il y avait aussi « Little Irish » qui lui n’était pas très causant et resté, renfrogné dans son coin, quand au vieux lui était toujours vautré sur le sofa déglingué du saloon d’Armadillo, soit à roupiller ou boire, soit à raconter des anecdotes sur sa vie passé au coté des premiers pionniers de se pays, chasseurs d’indiens et autres chasseurs de bisons, il n’était pas rare de voir une larme rouler le long de la joue du vieillard… Des larmes nostalgiques… Quand à Nastas lui, il partait constamment chassé et on ne le remarqué pratiquement jamais…

Ce matin là, Von Kestrel voulait mettre Jonathan à l’épreuve… Il lui confia une mission, à lui et à Carles, comme il s’entendait bien. La mission consistait à se rendre à Thieve’s Landing, une petite ville assez louche à l’extrême-Est de New Austin… Cette mission avait pour but de rejoindre un « bon » ami de la bande, un certain vendeur d’armes, enfin, Carles en savait plus long sur le sujet…

En fin d’après-midi, après le repas, Jonathan et Carles se mirent en route, en chariot, pour rallier Thieve’s Landing, enfin il n’était pas arrivé avant demain matin…

Thieve’s Landing… Ce nom évoque bien des souvenirs aux aventuriers les plus téméraires… Cette ville qui était la finition de la région de New Austin, était paumée au beau milieu d’un marécage nauséabond, mais le plus étonnant dans cette ville et que le crime en était le seul maitre… aucune loi… Le Marshall ayant été tué il y a 3 ans de cela… personne ne voulait reprendre les fonctions d’un nouveau représentant de la loi dans cette ville de fous ! En effet, elle était remplie d’ivrogne complètement barré, ainsi que de mineurs et Hors-la-loi ne cherchant qu’à se foutre sur la gueule… Mais le pire de tout était que la ville était également sous le contrôle de la bande la plus puissante de tout l’état de New Austin et West Elizabeth rassemblé… La bande des jumeaux Bollard… elle venait à Thieve’s Landing pour revendre le bétail, 2 fois moins chers, fraichement dérobé aux honnêtes fermier de la région…

Jonathan et Carles atteignirent la ville le lendemain à la première heure de la matinée, ils avaient établis un campement la veille… En cette heure les tarés n’étaient pas encore de sortis… enfin certains décuvé de l’alcool absorbés en grande quantité la veille au soir dans le saloon de la ville… à par quelques commerçants qui ouvraient leurs échoppes, il n’y avait pas un chat dans les rues…

Carles et Jonathan s’approchèrent de la porte d’un entrepôt, dont le bois commençait à pourrir avec les années… Carles essaya d’ouvrir la porte, en vain…
Carles : C’est bizarre, la porte devrait être ouverte, nous avons amené le chariot comme convenu …
Jonathan : Eh bien… Je ne connais pas ce type… Ce n’est pas dans ses habitudes de faire attendre ses amis ?
Carles : Non, sa ne lui ressemble pas… c’est un crétin… mais il aurait laissé la porte ouverte… Faisons le tour de l’entrepôt…

Les 2 jeunes hommes firent le tour de l’entrepôt, un grand se faisait entendre… Carles et Jonathan s’accroupirent derrière des caisses en bois et virent « l’ami » de la bande en train de se faire malmener par 3 inconnus aux yeux de Carles…

« L’ami » était en réalité un Irlandais, barbu et sale comme un porc, vêtu de vêtement gris déchiré de toutes part , Il était revendeur d’armes qu’il trouvait ou plutôt… Volait dans le coin, aux garnisons militaires et aux gangs… en l’occurrence ces types avait plus l’allure de membres de gang que de militaires…
Carles (braquant son flingue sur les Hors-la-loi): Hé vous ! Foutez le camp ou je vous descends !
L’Irlandais (le visage en sang) : Justement nous parlions des tarifs ! AHAH !
Un coup de poing en pleine face vint faire terre L’Irlandais, les 3 gangsters, tous vêtu de chemise de fermier et chapeau marron, à coup sur des membres de la bande de Bollard, dégainèrent presque instinctivement leurs Cattleman…
Bandit 1 : N’y pense même pas, sale Taco ! C’est toi qui va rengainait avant que je t’expédie une bonne fois pour toute pour Odd Fellow’s Rest !
Carles : Bon et bien… (il n’acheva pas sa phrase et tira 2 balles qui traversèrent le front de 2 bandits, avec une redoutable précision…)

Le 3ème et dernier bandit, prit son Cattleman et le braqua contre la tempe de L’Irlandais…
Bandit restant : Pose ton arme ! Ou je répend sa cervelle ! Allez fais ce que je te dis !!
Dans un ultime effort de concentration, Carles inspira à fond et tira… une balle désarma l’énergumène une 2ème vint le tué… en plein cœur…

Jonathan resta sans voix… Une redoutable précision… Incroyable !

Carles : Alors L’Irlandais ? Tous les moyens sont bons pour se foutre dans la M*rde à ce que je vois…
L’Irlandais : Oh vous savez ! Ces types étaient de véritables parasites… Des clients mécontents… enfin vous voyez de quoi je veux parler… Nom de Dieu, ou ai-je mis ma bouteille…
Carles : Vous vous souvenez de ce que vous nous devez L’Irlandais ?
L’Irlandais : Euuuuuuuh… Ah oui !! Les armes ! Tout est là !
L’Irlandais désigna 3 caisses rectangulaires en bois que Carles et Jonathan chargèrent dans le chariot…
L’Irlandais : Et je vous assure que tout y est ! Les carabines Winchester, les Revolver Cattleman, les Single Action Army… Tout !
Carles : Y’a intérêt L’Irlandais sinon…
L’Irlandais : Oui-oui ! Ne vous en faites pas monsieur Fortuna ! Monsieur Von Kestrel sera satisfait ! …

L’Irlandais partis précipitamment laissant Jonathan reprendre la route pour Armadillo calmement…

excellent, comme d'habitude...
Oublie pas de voter pour la meilleur fiction...

Chapitre 11 : Apprentissage et braquage de banque… :
Jonathan avait maintenant intégré la bande depuis maintenant 1 mois, il n’avait plus de problèmes d’argent à présent, les larcins qu’il effectué avec la bande lui apportait assez d’argent pour vivre et s’occuper de Charlotte, son travail consistait à faire quelques courses pour Von Kestrel, à braquer des diligences… ce genre de choses…

Aujourd’hui en se Lundi en début d’après-midi, Von Kestrel avait demandé à Jonathan d’allait voir Le Vieux au cimetière de Coot’s Chapel…
Jonathan se rendit sur les lieux 15 minutes plus tard…
Coot’s Chapel était un petit cimetière construit tout autour d’une vieille église abandonné depuis 8 ans… les vitraux cassés… la toiture défoncée… et tout les objets de valeur dérobé… le cimetière quand à lieu était également bien triste… la majorité de ses tombes étaient profanés, pillés par les nombreux chercheurs de trésors de la région ou simplement détruite…
Quand Jonathan arriva sur les lieux, il vit le Vieux en grande discussion avec L’Irlandais, autour d’une bonne bouteille de Bourbon bien sur !

Le Vieux : Ah Gamin ! T’es venu ! Notre ami L’Irlandais a quelque chose pour toi !

L’Irlandais fouilla dans un vieux sac de cuir à moitié bouffé par les mites et sortit un Revolver Cattleman flambant neuf…
L’Irlandais : Monsieur Von Kestrel m’a dit que cela pourrait vous être fort utile pour les jours à venir !

Jonathan accepta le Revolver et s’apprêta à partir une fois l’arme rangée à son ceinturon…

Le Vieux : Hé Gamin ! On peut pas te laisser partir comme ça ! Faut que tu nous montres ce que tu vaux au Revolver…

Jonathan se retourna et vit 3 bouteilles de Bourbon vide, s’en doute précédemment vidé par les 2 ivrognes…
Les bouteilles étaient posées sur des caisse en bois contre l’église, elle était à 50 mètres de Jonathan…

Le Vieux : Quand tu veux petit, prend ton temps et inspire à fond…
PAN ! La bouteille de gauche éclata… PAN ! PAN ! S’en suivirent les 2 dernières bouteilles…
Le Vieux : AHAH ! Excellent ! Un véritable tueur Cherokee ! AHAH !

Jonathan avait donc prit possession d’un Revolver… Enfin ! Songea-t-il, la prochaine fois cela lui serais fort utile… Si Von Kestrel avait insisté pour qu’il s’entraine à tirer c’est qu’il y allait se passer quelque chose dans les prochains jours…

En effet, 3 jours s’étaient écoulés après l’entrainement au tir de Jonathan… Et la bande s’apprêtait à attaqué la banque d’Armadillo…
Le plan de Von Kestrel était très clair… « Little Irish » devait se poster sur le toit juste en face de la banque, armé d’une Winchester, et abattre tout représentant de la loi s’approchant de la banque…
Bucky Sligo, lui devait être prêt à partir avec le chariot quand Carles, Jonathan et Heinrich s’en iraient avec les sacs d’argent pour Rathskaller Fork.
Une partie de la bande y était déjà, Charlotte aussi…

Tout le monde était en position… Un silence pesant s’installa sur Armadillo… il n’y avait personne dans la rue…
Carles, Jonathan et Heinrich mirent leurs foulards et entrèrent dans la banque… Cattleman à la main pour Jonathan et Carles… Revolver Double-Action pour Von Kestrel…
Une fois à l’intérieur Carles et Heinrich braquèrent l’employé de banque à travers les barreaux qui les séparaient… Jonathan lui, surveillait nerveusement la porte d’entrée, il ne voulait pas que sa finisse comme quand il était avec Ted et Jeff… Ted… Ou était-t-il cet enfoiré… Jonathan savait qu’il n’était pas mort…

Von Kestrel : Ouvre la Porte !
L’employé, les mains en l’air, suait à grosse gouttes et ne bougeait pas d’un poil…
Carles : Allez ouvre cette P*tain de porte !!
Soudain un homme entra par la porte derrière l’employé…
PAN ! Une balle vint se loger dans le cœur de l’intrus… Carles le Revolver fumant dans la main…
Carles : Je ne le répéterais pas 2 fois !!! Ouvre cette foutue porte !!!
L’Homme s’exécuta et ouvrit la porte à barreau… Carles lui pointa son Revolver sous le nez en l’obligeant à ouvrir le coffre fort…
Une fois le coffre ouvert, Carles envoya un violent coup derrière la nuque de l’employé, ce qui l’assomma sur le coup…
Carles, Jonathan et Von Kestrel prirent chacun un sac remplis d’argent et sortirent de la banque…
A la sortie, ils tombèrent nez à nez avec un adjoint du Marshall…
BAM !! un coup de la Winchester de « Little Irish » vint abattre l’adjoint dans le dos…
Ce dernier descendit du toit et toute la joyeuse troupe prit la route pour Rathskaller Fork en chariot… Jonathan contempla son pactole, 1500 Dollars d’un coup…
Finalement, la vie de bandit n’était pas si mal…