Tumbleweed ! Par Fox_McCloud.

Chapitre 1: L'engagement


Le rêve correspond à l'état mental conscient, mais labile, qui résulte de l'auto-stimulation du cerveau déconnecté du monde extérieur lors des sommeils profonds et paradoxal.

Serait-ce la réalité ? Ca y ressemble. En tous cas, je ne vois rien, mais j'entends de l'affolement. On dirait qu'on assiège la ville, pourtant, Blackwater est très bien protéger. J'aimerai voir, mais je ne peux ! Je dois avoir quelque chose sur mon visage qui m'en empèche, et je sens que mets mains sont liées. Qu'est-ce que ... On bouge ! On se croirait dans une de ses nouvelles technologie, l'automobile, qu'on apelle ça. Il semblerait qu'on s'éloigne de la ville, je n'entends plus les cris, ni les coups de feu. Ah ! Après dix bonnes minutes, on vient de s'arrêter. J'entends comme un bruit d'ouverture. On m'emmène ! J'en conclue que comme je fais soxante dix-neuf kilos, qu'il y a deux hommes. On semble me déliées les mains, mais on me les rattache en hauteur. Les hommes s'éloigne.

-En position ! En joue...

En joue ? Mais de quoi ? Oh non, il ne vont quand même pas...

-Feu !

Je sentis comme des brulures dans mon dos. Il semblerait que ses mystérieux hommes viennent d'en finir avec moi ! Je ne sentais plus la force dans met jambes. Je me sentis m'écrouler à terre, mais j'étais retenu par les menottes accrochés un peu plus haut que moi.

Je me réveilla d'un bond, touchant mon dos. Rien n'étais à déclarer ! Il semblerait que j'avais fait un rève, ou plutôt, un cauchemar ! Mon pouls se calma petit à petit, retrouvant mon calme. Aujourd'hui, je devais être très calme et serein car je venais d'arriver à Tumbleweed et que je passais les test d'admissions pour devenir l'adjoint du Marshall Taylor. Je récuperai mes vêtements dispercés un peu partout dans la pièce couleur bois polis, et au sol où était étalé de la moquette en soie. Je finis tant bien que mal par m'habillé. Je me regardai une dernière fois dans le mirroir, touchant ma petite barbe mal rasée. J'étais bien trop stréssé pour pouvoir avaler quelque chose ! Je regardais ma chambre, pour voir si elle était bien rangée. Mon lit était placé dans l'angle gauche de la pièce, la fenêtre sur le mur droit. J'enjambais deux par deux les marches du saloon de Tumbleweed. Je slalomais entre les table rondes et fit un signe de tête à monsieur Whitesteep. J'ouvrais la porte du saloon, menant à l'allée qui menait droit chez le Marshall.

L'allée avait été recouverte de sables fins qui reflétaient le soleil par beau temps, et qui absorbait la pluie par mauvais jour. Des petites mauvaises herbes étaient présentes tout le long du chemin. Mais, je vais profiter de ce chemin long et ennuyeux pour me présenter un peu. Je m'apelle Fox, Fox McCloud ! Mes amis m'apelle "le renard", surement parce que je suis très abile et rapide. Mes yeux sont d'un bleu persant le noir de la nuit, mon nez est un par un peu vers l'avant et une petite balafre m'arbore le menton. Je me suis mis un haut de forme kaki, tout comme mon pantalon. Par dessus et pour couvrir le tout, j'avais enfilé mon précieux cache-poussière trouée.

L'allée me semblait infinie. J'arrivais devant l'endroit, qui était accueillant. Un homme d'une quarentaine d'année m'attendait devant le bâtiment. L'homme en question avait un haut de forme blanc avec une petit gilet rouge par dessus. Son pantalon est noir et il portait des bottes.

-Bienvenu ! Je suis le Marshall Clint Taylor ! Fit-il

Il avait une petite barbe mal rasée, comme moi. Les yeux verts, et un ne assez costaud.

-Je suppose que vous êtes venu pour le poste d'adjoint, monsieur... ? Reprit-il.
-McCloud, Fox McCloud ! Et oui, je suis ici pour le poste d'adjoint ! Fis-je.
-Eh bien, j'ai étudié votre dossier et vous me semblez un bon allié ! Bienvenu parmis nous ! Dit-il en me serrant la main.

A ce moment là, je suis redevenu très calme, et très fier de moi...

A suivre !

Chapitre 2: Le vol de l'église

La nuit venait de tomber. Le noir régnait à présent sur Tumbleweed, et quelques lanternes éclairées le chemin principal, ou encore le saloon. La température avait chutée et l'on se croirait dans les environs neigeux de Blackwater. J'avais enfilé mon manteau en peau d'ours, comme à la dernière mode de Paris. Je mettais assis à la table ronde du poste quand je vis un homme un peu plus grand que moi arriver. Il devait avoir dans les vingt cinq ans. Son chapeau était tout juste cisallé au bout, ses yeux était marron et un défaut lui coupait la trajectoire de sa barbe. Il portait haut noir, tellement noir qu'on le confondrait dans une nuit méxicaine. Son pantalon, noir aussi, mais un peu plus claire, ce qui ne faisait pas trop ton sur ton. Il semblait frèle, mais cela ne l'était guère. Sa combinaison lui jouait une illusion d'optic.

Il prit place à la table ou j'étais assis. Ces pied étaient maintenant en croix sur la table et un cigare cubain couleur terre occupait la majeure parti de sa bouche. Il tira une bouffée et commençat:

-Je m'appelle Shawn Marston ! Tu es mon collègue adjoint ?
-Il semblerait, en effet. Fis-je. Je m'apelle Fox McCloud ! On m'a dit que le Marshall était en manque d'éffectif alors je suis venu lui proposé mon aide.
-A vrai dire, je suis nouveau aussi !

Nous firent alors connaisse de l'un de l'autre. Marston me parlait de son enfance tragique, où à l'age de cinq ans, ses parents ont été tué par un Hors-la-loi, devant ces yeux. Moi, je ne lui appris pas grand chose, car mon passé est aussi mystérieux que la réssurection de Jésus Christ. Mais, pendant que je parle avec Shawn Marston, je vais en profité pour vous décrire un peu les locaux. La table auquel nous faisions connaissance, était place sur la gauche de la cellule principale. Cette dernière se trouvait au milieux de la pièce, dans le fond. Un peitit coffre rempli de toutes choses précieuse pour son propriétaire, que la Sainte Bible pour être fortement croyant, était placé dans l'angle droit de la pièce, et qui, bien sur, était protéger par un coffre à cinq chiffres. Le sol n'était protéger par aucune moquettes et nous marchions à même le bois poncé. Notre pas se faisait entendre et faisait grincé le vieux bois, lorsque nous marchions dessus.

La bonne humeur régnait. Marston m'invitait à boire un verre chez Mr. Whitesteep, le patron du seul saloon très peu réputé de tout Tumbleweed. Nous enntrâmes dans le saloon qui dégageait de la bonne musique du pianiste, ainsi qu'une bonne ambiance. Shawn fis un signe de main à un homme, assis à coté du pianiste. Il me dit que c'était Sam Jackson, un nouveau. Sam était du genre calme et réservé. Il faut dire, Jackson n'avait pas eu une enfance facile car il a descendu un représentant de la loi lors de ses six ans. Mais c'était pourtant une brave personne, sur qui on pouvait compter ! Il était mal rasé et le dessus de son crane était aussi lisse que le magnifique comptoir en bois vernis du saloon. Marston commanda deux whisky. Le barman versa le précieux nectar dans deux petit verres brisée sur le goulot. C'était une soirée tranquille, où rien n'était à déclarer nulle part.

Mais, c'est à partir de là que la soirée a être gachée ! En effet, un peu plus tard, un homme d'origine méxicaine se fit entendre en faisant cogner le bois, lors de son passage. L'homme était assez gros et portait une moustache brune, parfumé d'une odeur magnifique de saumon qu'il venait de déguster avec un petit zeste de citron en provenance de Chine.

-Holla Gringos ! Fit-il, en méxicain. Je cherche un homme nommé Fox McCloud.
-Je suis là ! Dis-je, tout en parlant méxicain.
-Le père Pochet vient de se faire volé et le Marshall m'a demandé de vous prévenir.

Je parlais tellement bien le méxicain qu'on pourrait croire que je suis né à Mexico, mais je n'ai jamais quitté mon pays américain.

J'enfourchais mon cheval mais la nuit n'allée pas m'aidé. En effet, on pouvait mettre son doigt devant nous, on ne le verrai pas. Le Marshall me tint un lampe à huile d'origine française. Je pris la direction de l'église, tant bien que mal. Après quelques minutes, je me trouvais face à ladite. Je me plaquais contre le mur, voyant le ravisseur, en plein ouvrage. Je sortis mon Volcano et m'engagea dans sa direction, mais, ce que je n'avais pas prévu, c'est que les dalles de l'église n'était pas toutes fixée je me fis entendre de l'homme. Il se retourna et m'adressa la parole.

-Qui êtes-vous ?! Fit-il, pris soudain d'une panique.
-Je vouis retourne la question ?!

L'homme prit la fuite, laissant tomber ce qu'il avait dans les mains. Je lui sauta dessus et le plaquat sur le sol. Je lui ligota les mains mais il eut le réflexe de m'infliger un coup de boule dans la machoir. Je reprit mes esprit quelques instant après. Je constatais que l'homme tentait de prendre la fuite. Faute de moi, je lui tira dans les jambes et le ramena au Marshall...

Vous aimez ou pas ? N'hésitez pas à critiquer pour que je l'améliore

Chapitre 3: La profanation

Le soleil venait de se lever. Je sortis de mon lit, enfila mes pantoufles de couleur terre sèche méxicaine et regarda par la fenêtre. J'aperçus le barbier ouvrir son nouveau magasin. Les habitants défilaient les uns des autres. Certains allèrent au saloon, d'autre en sortèrent, dans un état second. Les autres allaient travaillé dans les mines, ou dans la construction du nouveau cinéma qui devait ouvrir ses porte dans notre belle cité. J'ouvris la fenêtre pour aérer la pièce qui regorgeait de ma transpiration. Je m'habillais dans ma nouvelle tenue d'adjoint. Cette dernière était muni d'un haut de forme blanc, avec un petit blouson marron par dessus. Mon pantalon noir était sale de la poussière de la veille. Je ne portais pas d'étoile, car je n'étais qu'un simple adjoint, et non un Marshall ou bien Shérif.

Je sortis de la pièce, claqua la porte en bois de chène anglais, posa ma main sur la rampe polis pour descendre les escaliers. Je m'installa au magnifique et nouveau comptoir. Grant me tint une carte qu'il avait fait pour aider les clients à choisir leur consommation. Je vis un nouveau produit qui s'apellait "Café". Je ne savais pas ce que c'était, j'en pris un et je me trouvais nez à nez avec une tasse contenant un liquide noir, comme la nuit d'hier soir. Je trouvais, ce qu'on apellait "Café" si bon que je repris une autre tasse. Je sortis ma plume, ainsi qu'un livre. Je commançais à écrire ce ui venait de ce passer. Et oui, comment voulez-vous que je me rapelle tous ces détails du haut de mes 75 ans ? Il fallait bien que je les notes quelques part. Il faut dire, j'avais fais mes études dans les meilleurs universités de Blackwater, et j'étais un des rares habitant de Tumbleweed à savoir lire. Quand Grant me voyait faire ça, il me trouvait bizarre.

Après avoir déjeuné copieusement, je sortis dehors, avec en tête la direction du bureau du Marshall. Le sable reflétait la chaleur accablantes du soleil matinale, et j'eus mis du temps à m'habituer à la lumière du jour. Les habitants, polis comme il se doit, me saluèrent. Après avoir fait ce petit trajet, je me trouvais nez à nez avec la porte du bureau de Mr. Taylor. Ce dernier me fit un signe de tête. J'installais mes affaires, et m'assis à la seule table, me préparant une ciagrette.

-Oh tiens, Fox ! Une rumeur circule comme quoi un pilleur de tombe serait, en ce moment-même, être à l'oeuvre. Fit le Marshall. J'ai trop de paperasse à faire, pourrais-tu allez voir ?
-Ouaip ! Fis-je, dégageant une bouffée.

Je sortis à peine arriver du bureau, montant sur mon cheval et prit la direction du cimetière. Sur la route ensablée, des centaines d'empreintes de fer à cheval et de diligence étaient marquées. Elles étaient tellement nombreuse qu'il aurait fallu des année à toutes les compter. Et même, les traces se seraient éffacés au crépuscule.

Après un court voyage ennuyeux, j'attachais mon cheval à une rampe quelqonque. Je ne savais même pas si cette dernire était faites pour les chevaux. Le sable de la route c'était transformé en terre éffritée. De nombreux caillioux sortaient leur nez du sol. Je m'approchais du cimetière et, en effet, un hiomme se trouvait en ce moment, à genou dans un cercueil, tripotant un squelette. Je fus surpris sur le coup, mais je e dis qu'il avait une bonne raison, même si ce n'en était pas une ! L'homme était torse nue, une pantalon coupé jusqu'au genou, qui étaient couvert de terre, de sédiments eu autres. De dos, il était chauve et je n'apercevait pas son visage.

-Dites-moi, que faites-vous ? Fis-je.

L'homme sursautat.

-Oh ! Et bien je regardais comment aller les morts ! Fit-il, géner.
-Vous vous foutez de moi, j'éspère !
-Non, bien sur que non !
-Très bien ! Suivez-moi au poste !
-Non ! En fait, je cherchais un colier d'une très grande valeur et on m'a dit qu'il était dans la région ! Gardé ça pour vous mais je ne voulais en parler à personnes !
-C'est pas mon problème.
-Nous pourrions le partager ! Je suis sur que vous révait d'être riche !
-Bien sur ! Dans ce mon de fou, seul les riches vivent longtemps ! Mais j'ai juré fidélité à la loi ! Suivez-moi ! Vous ferez 5 jours de prisons pour profanation sans autorisation officiel ! Vous pourrez reprendre vos fouilles après, car j'en serais informer !

L'homme me suivit sans faire d'histoires. Une balafre lui défigurait la majeure partie de son visage. Il était devenu borgne. Il marchait sans pantoufle, ni chaussure, ni bottes. Je fus obligé de le ligoté, par sécurité. Il monta sur son cheval, que je pris au lasso. Un magnifique étalon blanc, qu'il avait.

De retour à Tumbleweed, je le mis en prison pour cinq jours...

Chapitre 4: Un train pour madame

C'était maintenant le soir. Le vent chaud des plaines arrides avait laissé place à la douce brise. Il ne c'était pas passer grand chose, aujourd'hui. Mise à part le profanateur de ce matin, qui était assis dans sa cellule. Un nouvel adjoint était arrivé. Peter McGrady, un type honnète, sur qui on peut compter. Il n'était pas présent, dans la pièce, mais je me souviens qu'il avait les yeux vert, les cheveux chatains clair. Les rayons du soleil, quant ils venaient se déposer sur ses cheveux, laissé paraitre des mèches blondes. Tout ceci n'était qu'un illusion, bien sur. Marston et Jackson étaient assis avec moi à la table. Nous faisions un Poker, sans triche, bien sur.

Après quelques minutes, nous décidâmes d'aller nous remplir l'estomac. Nous prirent alors la direction du saloon de Mr. Whitesteep. Les passant nous saluaient, quand nous passèrent sur le bas coté de la chaussée ensablée. Shawn poussa la porte du saloon, et nous firent entré dans le modeste endroit. Nous prirent place à une table à trois, tout en surveillant les environs de toutes altércations possible. Une serveuse vint tout de suite nous présenté le nouveau fonctionnement avec la carte. Cette dernière comportait un choix assez complet, à un prix modeste. La ravissante jeune femme, habillées comme les serveuses de Londres et où Marston lui faisait les yeux doux, prenaient notre commande. Sur cette carte était noté "Carbonara". Ne sachant pas ce que c'était, tous trois avont pris le même plat. A ce qu'il parait, ce produit venait d'Italie. Ce repas était très copieux, tellement qu'on croirait que nous venions de vider un buffet de repas de mariage.

Aucun incident n'était, pour l'instant, à déplorer dans le saloon. Les ivrognes demandaient leurs une énième bierre ou verre de Wisky. Les prostituées, vétu de sous-vétement de mode madrilène, allumait les étrangers, pour gagner leur vie. Je surveillait tout particulièrement les parties de Poker, car c'est souvent à partir de ça, que les bagarre se déclenche. J'avais déjà repérer un tricheur, sans rien dire, sinon, il y aurait eu altércation. Le saloon était un magnifique endroit, lorsqu'il n'y avait pas de bagarre ! Un tête de buffles était accrochés au-dessus de l'entrée, les tables étaient présentées un peu comme à Armadillo. Deux étages étaient présent. Le comptoir était en bois de grande qualité soviétique, les porte en chène de différents pays. Whithesteep c'était associés à certain fournisseur étranger, pour meubler son saloon.

Soudain, brisant la bonne humeur du saloon, un homme arrivant en hurlant. Il était éssouflé. Il était fortement élégant, pour ne pas dire riche. Un chapeau melon lui couvrait son crâne chauve. Un costume noir de soirée lui arborait sa tenue. Un gourmette en or massif, brillant aux bougies et ampoules du saloon, était accroché à son poignet gauche. J'en déduisis que l'homme était droitiers.

-Mon... Ma femme vient de se faire kidnapper ! Fit-il, reprenant son souffle.
-C'est pour moi ! Lançat Jackson, se levant.

Ce dernier quitta le bar avec l'autre homme. Marston prit place au bar, s'appuyant contre le comtpoir résistant. Moi, cependant, j'avais sortis mon livre et écrivis mes aventures. J'avais la particularité de mettre trois "bosse" à mes "M" et deux à mes "N". Mes professeurs me l'avaient reproché un nombre incalculable de fois. Je d'eus ranger mes affaires, quand le Marshall Taylor venait d'arriver.

-Les gars ! Une dame nous demande de l'éscorter jusqu'à Blackwater ! Elle est en danger de mort ! Lançat-il.

A suivre !
Vos avis ?

Chapitre 4: Un train pour madame, suite.

Marston quitta sa position agréable, et lâcha son verra de Vodka qu'il avait prit pour humidifier sa gorge. Le Marshall était sur déjà sur ma monture élégante. Nous prîmes la direction du bureau de Mr. Taylor. Les rues étaient vides le soir, à Tumbleweed. Tous étaient dans leur maison ou bien au saloon. Il faut dire, les gens de Gaptooth Ridge étaient voisins de Chollas Springs, et des disparitions mystérieuses avaient lieu dans ces environs. Les gens étaient effrayer de se faire kidnapper. Je les comprenais.

La nuit venait de s'abattre, sur Tumbleweed. Les lanternes de la ville étaient toutes éteintes, sauf celle du bureau du Marshall, auquel nous nous dirigions. Mr. Taylor nous fit entré et nous présenta à la jeune demoiselle d'une quinzaine d'année. La fille était assis sur une chaise plaqué contre le mur tapissé. Elle avait le regard vide, malgré ces magnifiques yeux vert. Un fond de teint français masqué les défauts de son visage, qui était magnifique. Ces cheveux, de couleur châtains foncés, partaient en queue de cheval tressée. Le Marshall nous expliqua que nous devions l'escorter jusqu'à la ville, et que les Waltons avaient descendu toute sa famille. Nous appelions Blackwater la "ville". Car, pour eux, nous étions des gens de la campagne, des ploucs, en quelques sortes. Les gens de cette ville étaient tous très gentil, certes, mais les policiers sont de vrais salauds. Au début, il y avait Edgar Ross, récompensé de la médaille du mérite. Il ne l'avait guère mérité ! En effet, un nommé John Marston, avait fais le boulot à sa place. Ce dernier fut liquidé. John Marston n'avait, bien entendu, aucun lien de parenté avec Shawn Marston, ici présent dans la salle. Ensuite, il a eu son successeur. Je ne me souviens plus de son nom, mais tout ce que je sais, c'est qu'il est incapable de s'occuper de lui tout seul, c'est dire !

Mais, ne nous attardons pas là-dessus, nous avions une mission de la plus haute importance à faire. La belle demoiselle avait prit place derrière le cheval du Marshall. Shawn et moi-même étions placés derrière eux, à surveiller les alentours. Nous attachâmes nos chevaux à la barre prévue à cet effet. Mr. Taylor nous prévint qu'une fusillade pourrait éclater à tout moment. Les autres passagers, ainsi que le conducteur, avaient étés prévenu du danger, et une attestation officiel nous permettait de faire ce voyage légalement, malgré les risques. Je pris place derrière le siège de la demoiselle, tout en surveillant les alentours. Le train était très original. Des fenêtres double vitrage, qui valaient très cher à l’époque. Un cloche en argent pour sonner l’arrivée, comme dans la grande ville de Chicago. Des sièges de premières classes en tissu anglais, du bois pour la deuxième et troisième classe.

Les premières minutes se passaient bien. Marston était tout devant, au premier rang, tandis que le Marshall était sur mon coté gauche, trois rangs plus haut avec son chapeau blanc. Soudain, un coup de feu se fit couvrir par le double vitrage des fenêtres. La balle tapa la tôle du coté du train, et fit jaillir une étincelle magnifique. Il ne fallut pas attendre la deuxième balle, pour comprendre que les Waltons avaient déjà passé à l’attaque. Je plaquais la demoiselle au sol, pour la protéger, tandis que Shawn et le Marshall tirèrent sur les ennemis. Ces derniers passaient les collines ensablées de Gaptooth Ridge. Elles ne valaient, évidemment pas, les montagnes enneigées de la cote Nord de West Elisabeth.

Le chauffeur accéléra pour essayer, en vain, de semer nos poursuivants. Je sortis mon pistolet Volcano, qui datait de ma plus tendre adolescence. Mon père me l’avait acheté, comme cadeau de ma quinzième bougie. Je tuais les Waltons qui s’approchaient de trop prêt de la locomotive. Mes collègues et moi subissions des attaques des deux cotés du train et, nous n’étions pas à porter de caisses de munitions. Ces dernières disparaissaient très vite, en allant s’empaler dans le corps de nos victimes. Je m’empressais d’allez voir le conducteur.

-Il faut accélérer ! Sinon, on va y passer ! Lui hurlais-je.
-Je ne peux pas ! Il semblerait qu’une charge trop lourde nous ralentisse ! Me fit-il, dépité.
-Fox ! Les Waltons tentent de monter par derrière ! Me fit le Marshall.

Je savais que cette bataille n’allait pas être du gâteau, mais à ce point là ! Je vis la rage de vengeance dans le regard de Shawn. Le Marshall et moi faisions évacuer les passagers des wagons des deux dernières classes, pour leur sécurité…


A suivre !
Bien ou pas ? Dites si je dois améliorer des chose.